L'homme libre

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Moi Salif, je dirai ce que je pense, coûte que coûte !

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Après la parution de mon article titré "Appel téléphonique entre Diendéré et Zeph: Cette fois, on l'aura" sur mon blog, ils étaient des dizaines à se fier au titre et me traiter de vendu, de bête, de jeune inconscient, bref, de tous les noms. Ceux qui ont lu l’article ont compris que le titre n’était pas relatif à Zeph mais plutôt à « une éventuelle crise ». Pour ceux qui me traitent de vendu, rassurez-vous, je rends grâce à Dieu pour ce que je suis.

 

J’aurais pu me dire, je suis un fonctionnaire, j’ai un bureau, j’ai un salaire et me taire. Mais mon passé de Journaliste me rattrape à tout moment. Impossible donc  de me taire quand je pense que je peux dire quelque chose. Je ne le dis pas avec espoir de changer la courbe de l’histoire, ni avec espoir de satisfaire à tout le monde, loin de là. Mais j’écris ce que je pense dans mon blog, avec satisfaction d’avoir dit ce que je pensais conformément à mon droit d’expression reconnu par la Constitution du Burkina Faso. C’est d’ailleurs ce qui guide ce blog : La liberté d’expression est un droit.

 

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Jusqu’à ce que je ne respire plus ou à ce que je décide à mon âme et conscience d’arrêter, ce blog sera animé à ma façon. Ces « grands militants » m’assurent même que le sang va couler bientôt ! Voilà du même coup l’image de ceux qui veulent nous diriger. Pour la nième fois, je le dis et redis, je dirai ce que je pense coûte que coûte. A ce rythme, l’avenir politique de ce pays est en danger. Ceux qui sont censés assurer la relève politique de leurs leaders, ne savent ni écouter, ni répondre. C’est pourtant la base de la communication.

 

Je reconnais qu’il y a certains jeunes politiques qui sont outillés de sagesse, d’intelligence, de tact et de savoir vivre à même de les assurer une belle carrière politique. En témoigne ces « citoyens » nantis de bons sens qui ont posté leurs commentaires après avoir lu l’article.

 

Pour mes frères et sœurs qui s’enflamment, qui insultent, qui menacent, c’est peine perdue : Moi Salifou Ouédraogo, je dirai ce que je pense, sans demander la permission à qui que ce soit !

 

Ici, seuls les citoyens qui savent lire et comprendre sont les bienvenus. Seuls les « bons  citoyens » sont sollicités. Ceux-là qui savent reconnaitre le droit de chacun de dire ce qu’il pense sur chaque actualité, même si son point de vue est contraire au vôtre. C’est en réalité une opportunité qui s’ouvre à chacun pour dire ce qu’il pense de façon républicaine !

 

A l’image de Camille Lepage, je suis « passionné pour les causes oubliées, pour ces gens qui souffrent en silence et auxquels personne ne prête attention, ou dont personne ne veut parler » !

 

Vive la République ! 



20/11/2015
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